mercredi 31 août 2016

Fin de blog


Voilà, c’est fini. Je blogue depuis plus de dix ans et je pense en avoir fait le tour. Du moins sous cette forme, pour la suite on avisera.

Passer ma vie à d’autres choses, sortir du carcan que je m’impose, à vouloir publier une note dès que j’ai pris une série de photos ou que j’ai écouté un disque. Fonctionner autrement, sans penser à bloguer.

Bien sûr, je continuerai à prendre des photos, je ne cesserai pas d’écrire, mais il n’y aura plus cette urgence, les longues heures passées sur mon ordinateur, pour à peine une dizaine de vues au final, la plupart du temps.

Elsasong.blogspot.fr reste en ligne, tout comme elsasong.hautetfort.com : je sais qu’il y aura toujours des internautes pour en consulter les pages, au fil de leurs recherches sur un sujet ou sur un autre. 

Certaines ont un succès mondial ! C’est ce que m’ont appris les statistiques. Je les regarde, parfois. Les résultats sont souvent très intéressants.

Les temps changent, à l’image de ces chats qui sont morts les uns après les autres : Kiwi, Pirouette, Patate… La résidence renouvelle sa population féline. 

Certes, il y a toujours Léa la momie, Tempo le sauvageon, Croquette, Domino, le Vilain… Le Joufflu est là depuis cet hiver, Lutin la petite sirène est arrivée le 25 mai 2016, chez le maître de Pirouette un chaton gris et blanc nommé Tagada a élu domicile, j'ai entendu parler d'une petite bête à moustaches et oreilles pointues chez le jeune couple du chien Popeye…


L’adoption de Lutin se fait dans la lenteur, la patience et la douceur. J’ai attendu un mois avant de la laisser sortir, et encore, sous mon contrôle.

Les premières fois, elle s’est dirigée fissa vers la route, traversant pour rejoindre la Croix-Gauthier ou pour suivre le trottoir, son fin museau au ras du sol… Sûr ! Les fantômes de Kiwi et de Pirouette rôdent dans le coin. 

Alors hop ! Le temps de la récupérer (elle ne se sauve pas quand je l’appelle, au contraire elle revient vers moi en réclamant des caresses) et direction la maison, elle n’est pas encore prête…

L’été s’est passé à lui apprendre à rester aux alentours, de préférence sous mes yeux, sinon dans la résidence, mais certainement pas sur la route, c’est trop dangereux.

Encore aujourd’hui, Lutin a quartier libre le matin mais reste à la maison l’après-midi, avec moi si j’y suis, en tout cas avec Léa, sa lointaine et hautaine ancêtre. Elle est très joueuse, câline, calme, plutôt docile. Elle miaule fort et aigu, d’où son surnom « petite sirène ». Elle est mignonne, tellement mignonne !

En ce moment, Tempo n’apparaît que pour les deux repas réglementaires, mais je sais qu’il n’est pas loin ; si je veux le retrouver, je n’ai qu’à aller jusqu’au territoire de Domino, au fond de la résidence.

Bien sûr je pense au Petit Prince, à sa rencontre avec le renard, à ce que signifie « apprivoiser ».


Graffiti numérique réalisé en haut du Campanile de Giotto, à Florence (mai 2016) 


dimanche 28 août 2016

Promenade

Trilogie de la maison 1/3

Je me suis réveillée bien avant les autres. Debout, en silence, j'ai enfilé mes bottes, mis un gilet par-dessus ma veste de pyjama et je suis partie me promener aux alentours de la maison. Ici, les chemins sont de terre, herbus ; je sens déjà la rosée s'immiscer dans mes courtes bottes.

C'est l'aube, la lumière est bleutée. Je respire l'air frais et je marche, contemplant la nature que je surprends, encore en plein sommeil. Je distingue les arbres, noirs, immenses, au-dessus de ma tête, et les champs qui s'enfoncent, au loin, dans l'obscurité. Le chemin est tout droit. Je le suis des yeux jusqu'à le voir disparaître.

La nuit se retire peu à peu, les oiseaux entament une mélodie joyeuse, entêtante, une ode à la vie… Je suis vivante, je me sens exister au milieu de cet univers familier où je conduis mes pas. Là-bas, une ferme : celle où nous allons chercher le lait, les oeufs.

Plus loin quelques maisons, des prés immenses avec des vaches, de hauts buissons de mûriers. Le puits, danger tout proche, et cette vieille machine agricole rouillée que j'ai toujours vue ici, échouée, émergeant à peine des grandes herbes. Son siège est confortable et de là, je domine un océan de verdure.

Le soleil diffuse bientôt une couleur orangée, teintant tout ce qu'il touche de ses rayons encore pâles. Des nappes de brume planent au ras du sol, donnant un air étrange au monde qui m'entoure. Je bats des mains, émerveillée par ce fabuleux spectacle qui s'offre à mes yeux d'enfant.

C'est l'été. Il va faire beau, aujourd'hui. Bientôt j'ai faim, je rentre. Mes pieds sont froids, l'eau fait du bruit dans mes bottes. Les autres seront sûrement levés, je pense au réconfort d'un grand bol de chocolat chaud.

« Promenade » a été publié précédemment sur Hautetfort (avec « Première fois » et « En sueur ») dans « Trilogie du réveil ».

vendredi 26 août 2016

Veillée

Trilogie de la maison 2/3

C'était l'été, nous passions nos vacances en famille, à la campagne, dans la maison. Nous étions isolés, loin des routes goudronnées. Il n'y avait, comme seul moyen d'accès, que des chemins de terre, truffés d'ornières, tapissés d'herbe, parfois boueux.

La maison se trouvait au centre d'une vaste propriété, entourée d'arbres touffus. Aux alentours : des champs, des prés. Encore plus loin, de grandes forêts où nous allions souvent nous promener. Nous rapportions des champignons dans un panier : trompettes, bolets, girolles… Nous les mangions le soir, préparés en omelette.

Nous nous rendions à pied ou en vélo au hameau le plus proche pour chercher, à la ferme, du lait et des œufs. Au bout du chemin qui menait au hameau, il y avait une boîte aux lettres, où nous déposions notre courrier. Nous aimions écrire : nous envoyions des cartes postales, des lettres, des petits cadeaux, des paquets. Nous aimions bien aussi en recevoir !

Quand arrivait le facteur, c'était toujours un grand bonheur. Nous entendions le ronronnement caractéristique de son moteur—d'abord indistinctement puis de plus en plus nettement—, jusqu'à voir apparaître sa deux-chevaux au détour du chemin. Il s'avançait jusqu'au seuil de notre maison, venait à nous, en messager d'ailleurs, porteur de bonnes nouvelles, détenteur de trésors.

À l'intérieur de notre domaine, nous avions un jardin, un verger, des bosquets, une prairie, une mare, une balançoire, un bac à sable, un enclos avec des tortues, un appentis où étaient entreposés les outils de jardinage, de bricolage, et nos vélos. Dans un environnement pareil, nous ne pouvions pas nous ennuyer !

Il y avait toujours quelque chose à faire, un endroit où aller. Et quand bien même nous ne faisions rien, nous pouvions rêvasser, allongés dans l'herbe ou juchés sur un arbre, à contempler le ciel, avec ou sans nuages, le nez au vent. Nous vivions proches de la nature, nous étions loin de tout, nous entendions vibrer le monde.

Il y en a eu des étés passés là-bas, dans la maison, à la campagne. Puis les choses ont changé. Au fil des années, ils se sont espacés, ils ont disparu, ils ont cessé d'être. Et près de quarante ans plus tard, ces étés se sont mélangés jusqu'à n'en faire plus qu'un : l'été de mon enfance.

De toutes ces journées, il m'est resté tant de belles choses : la joie de cultiver un jardin rien qu'à moi, les jeux avec mon petit frère, mes jeux en solitaire avec mes poupées, les moments de lecture et de sieste, l'écriture de lettres ou de petits poèmes, les balades en forêt, les virées à vélo, les sorties à la piscine, les grands travaux d'aménagement de la maison réalisés par mon père, le goût du fromage blanc préparé par ma mère, les repas en famille, les melons et les guêpes, les gaufres et les crêpes, les soupes aux légumes du jardin, les veillées à la lueur des bougies et des lampes à pétrole…

Il fut un temps où nous vivions, dans la maison, sans eau ni électricité. C'est de ce temps-là, le plus ancien mais aussi le plus singulier, dont je me rappelle le mieux. Nous allions chercher de l'eau dans un puits qui se trouvait tout près de la maison et nous la rapportions dans des seaux, charriés par une brouette. Pour l'eau potable, nous prenions la voiture jusqu'à une source, dans la vallée, à cinq bons kilomètres. Nous en revenions avec des jerricans lourds et ventrus, remplis à ras bord.

Les WC, très rudimentaires, se trouvaient dehors, cachés dans un sous-bois. Il y avait une cuisinière au gaz, un poêle à bois, un garde-manger grillagé placé dans un endroit frais, une radio à piles que nous écoutions plutôt le matin. J'ai eu, plus tard, mon propre petit poste de radio, que je pouvais écouter à loisir dans ma chambre.

Le soir, après manger, nous faisions une petite promenade sur les chemins autour de la maison, pour digérer, avant de nous coucher. Le chat nous accompagnait parfois.

Quand la table était débarrassée, la vaisselle lavée, essuyée, rangée, nous pouvions rester à l'intérieur et organiser une veillée. Ma mère préparait une tisane, mon père sortait la mallette de jeux de société, mon frère et moi nous mettions en pyjama, nous nous lavions les mains, le visage et les dents…

Nous étions prêts pour une partie de petits chevaux, de jeu de l'oie, de dominos. Ma mère, mon petit frère sur ses genoux, était gaie et enjouée ; elle riait de bon cœur, blaguant gentiment, taquinant, chantonnant. Nous lancions vigoureusement les dés, animés par l'envie de gagner. Nous avancions volontiers nos pions, mais rechignions à les faire reculer !

Nous étions là tous les quatre, réunis autour de la vieille table en bois, au centre de l'ancienne étable, éclairés par une lumière douce, un peu floue. Elle nous enveloppait d'un voile chaud, orangé, laissant les murs de pierre flotter dans l'ombre, avec le froid du soir. Nous étions bien ensemble, nous étions si proches ! C'est là, à la veillée, que s'est forgée en moi et à jamais mon idée du foyer : simple, aimant, rassurant.

C'est là d'où je viens, c'est ce dont je suis faite, c'est ce que je suis. Ces quelques pauvres années de vie familiale se sont cristallisées autour de cette image tranquille, joyeuse de la veillée ; elles m'ont assez marquée pour que je continue aujourd'hui d'y puiser. Car à la source, se trouve le bien le plus précieux et le plus rare de l'existence.

C'est là, pour moi, qu'est ancré le bonheur, dans ce tableau désuet, un peu naïf, d'une famille rassemblée le soir après dîner, autour d'un jeu de société. J'ai la sensation que bien après l'arrivée de l'électricité, nous avons continué à nous éclairer aux bougies et aux lampes à pétrole, quand nous faisions une veillée.

« Veillée » a été publié précédemment sur Hautetfort sous le titre « La veillée ».

mercredi 24 août 2016

Pèlerinage

Trilogie de la maison 3/3

Au bout du chemin, il y a la maison. Mes meilleurs souvenirs sont là-bas, de l’autre côté de la barrière en bois, derrière le rideau d’arbres. J’arrive en voiture, je m’arrête, j’oriente mon regard vers sa silhouette familière. Il se peut que je ne descende pas. Tout au plus, je coupe  le moteur et je reste là, à inspecter les alentours, à me nourrir de mon passé.

Tout est ici, rien n’a vraiment changé. Il y a toujours des moutons et des vaches dans les prés, toujours des buissons de ronces le long des clôtures. De nouvelles habitations se sont construites de part et d’autre du chemin, mais la maison reste isolée, au milieu de son écrin arboré et verdoyant.

Souvent les larmes me viennent, le chagrin monte en moi, alors je m’en vais. Mais je reviens toujours. De toute ma vie, je n’en aurai jamais vraiment fini avec cette maison, c’est comme ça. C’est écrit au plus profond de mon âme et de mes tripes. C’est gravé à jamais sur sa façade et dans chacun de ses murs.

Il m’arrive parfois de m’approcher plus près. S’il n’y a personne, une impulsion soudaine peut me faire décrocher la fine attache en fil de fer qui retient la barrière en bois, et pénétrer dans la propriété. Je n’ai jamais eu l’impression de faire quelque chose de mal. Les propriétaires sont absents et la fermeture n’est finalement que symbolique, il en était déjà ainsi du temps où nous habitions là.

C'est toujours un peu chez moi. Je ne peux ôter ce sentiment d’appartenance, cet endroit représente le meilleur de ma vie. Je me suis toujours donné le droit d’aller voir la maison de près, comme au cimetière me recueillir sur la tombe d’êtres chers. Ici, ce que je pleure n’est pas palpable. Il n’y a que moi pour entendre et pour voir ce qui a depuis bien longtemps disparu.

Je marche sur le chemin dont la courbe gracieuse me mène jusqu’à la robuste porte en bois, surélevée par une marche en pierre. En levant la tête, je contemple ce chien-assis, derrière lequel j’avais ma chambre, autrefois, sous les toits ; là où, les matins d’été, je me réveillais avec une vue imprenable sur le jardin, le verger, les prés, les champs, la forêt.

J’étais la princesse d’un royaume enchanté. Le chat miaulait, en bas. Pour aller lui ouvrir, je devais descendre par l’abrupt escalier fabriqué par mon père, tourner la grosse clé dans la serrure, lever le lourd loquet de fer avant de tourner la poignée. C’est toujours le même système d’ouverture, la même serrure, probablement la même clé.

Sur la droite, le petit barbecue en pierres a maintenant disparu. Je me souviens, lors d’une de mes premières expéditions, y avoir miraculeusement trouvé une clé de la maison. Bien cachée sous une pierre, elle n’attendait que moi. Ce jour-là, je m'étais donné le droit d’entrer. À l’intérieur, j’avais foulé les tomettes repeintes en rouge, jeté un coup d’œil sur l’ancienne chambre de mes parents, du temps où ils dormaient encore ensemble.

Je me suis souvenue des veillées en famille : assis autour de la table, dans la grande pièce principale, nous jouions aux petits chevaux à la lueur des lampes à pétrole. J’ai eu une pensée émue pour le vieux four à bois, sur lequel ma mère faisait cuire des gaufres dans des moules en fonte. J’ai repensé au temps où nous vivions ici sans électricité, ni eau potable.

C’était comme un jeu, c’était toujours l’été, il faisait toujours beau, nous étions en vacances. Ce jour-là, après ma visite à l’intérieur de la maison, j’ai remis la clé à l’endroit même où je l’avais trouvée. Aujourd’hui, je me reproche cette honnêteté car cette clé, finalement, je l’aurais bien gardée.

Un peu plus loin sur la gauche, il y a une terrasse en briques rouges avec une imposante construction en ciment : le nouveau barbecue. La clé y serait-elle cachée ?

De ce côté, la maison s’est agrandie. Elle s’est pourvue d’une magnifique véranda en arc de cercle, garnie de grands fauteuils en osier. À l’intérieur, le mur où autrefois ma mère faisait pousser des lupins, des glaïeuls et des lys, accueille l’âtre d’une cheminée.

À l’arrière de la maison, il y a toujours cet appentis en bois construit par mon père, où il rangeait tous ses outils, son matériel de jardin et nos bicyclettes. Nous faisions de longues promenades sur les chemins et sur les routes en emportant de l'eau et notre goûter. Mon petit frère était derrière mon père puis, plus tard, il a eu son propre vélo.

Derrière la maison, le sentier serpente toujours dans le petit bois. Il y fait sombre et j'aperçois une petite fille, dans sa cabane, qui joue avec ses poupées. Chacune repose dans son berceau, la dînette est disposée sur une cagette retournée qui sert de table. Une fois les poupées endormies, elle se lève silencieusement, prend son vélo et pédale jusqu’à son frère, qui joue aux voitures dans le tas de sable, un peu plus loin.

Leurs parents sont dans le jardin, son père s’occupe des arbres, sa mère ramasse des petits pois. Bientôt, maman l’appellera pour qu’elle l’aide à préparer le repas. Cet après-midi, si le temps reste au beau, papa a promis d’emmener la famille à la piscine. Elle scrute le ciel, redoute l’arrivée de gros nuages qui annuleraient la sortie…

Les nuages se sont amoncelés pendant des mois et des années, au-dessus de la maison. Ma mère a trouvé, pour ses vacances, des endroits moins retirés et bien plus amusants, en compagnie d’un homme qui n’était pas mon père. Un été, dans la maison, mon père a invité une amie, qui dormait avec lui, dans la chambre, à la place de ma mère. J’ai fini par ne plus venir. Je n’étais bien nulle part, même plus ici. Un jour, ils ont vendu la maison. Mon enfance est partie avec.

La boucle est bouclée. Je me retrouve dans le chemin que j’ai emprunté pour arriver, sous les noisetiers, là où la voiture était toujours garée. Avant de repartir, je respire profondément en embrassant la maison et ses alentours d’un long regard.

Je prends un peu de mon enfance qui reste là, intacte. J’en ai besoin pour vivre, c'est tout ce que j'ai trouvé pour continuer d’avancer. Je reviendrai toujours.

« Pèlerinage » a été publié précédemment sur Hautetfort sous le titre « La maison ».

vendredi 19 août 2016

Merveilles du Portugal

Séjour au Portugal, 8 au 16 août 2016
Carnet d'adresses gourmandes :

Dégustation des fameuses tartelettes portugaises, le 8 août 2016 au Pastéis de Belém, maison fondée en 1837, à deux pas du monastère des Hiéronymites, Lisbonne, quartier de Belém

Dîner typique en terrasse, le 9 août 2016 au Canto da Vila Bistrô, sur le trajet du Tram 28, Lisbonne, quartier de l'Alfama

Pause apéritive de beignets de morue, le 10 août 2016 au Pastel de Bacalhau, maison fondée en 1904, Lisbonne, quartier de la Baixa

Achat de douceurs régionales, le 12 août 2016 à la Pastelaria Estrelas de Tomar, district de Santarém, ville du Couvent de l'ordre du Christ aux huit cloîtres tous aussi renversants les uns que les autres

Dîner de poissons, de pieuvre grillés, le 12 août 2016 au Pão de Trigo, après le coucher du soleil à Cabo da Roca, pointe la plus occidentale du continent européen, Serra de Sintra, district de Lisbonne

Déjeuner fin et gourmet, le 14 août 2016 au Faz Figura, sur sa terrasse avec vue sur le Tage, Lisbonne, quartier de l'Alfama

Dîner de viandes grillées, d'un Bacalhau com Nata ainsi qu'une Bave de Chameau en dessert, le 15 août 2016 au Burro Velho, Bathala, district de Leira

Pour se rafraîchir au sud de la Suède :
Blog par monts et par vaux

Pour découvrir Pékin et la Chine :
Blog fctchina

Pour revivre nos aventures à Berlin et à Leipzig :
Images d'Allemagne
Berlin-Leipzig-Berlin
Huit jours à Berlin


8 août 2016

Lisbonne, quartier de Belém, balade le long du Tage...









9 août 2016

Village de Barrosa, musée national de l'Azulejo à Lisbonne, virée dans le quartier de l'Alfama...










































10 août 2016

Lisbonne
Monastère des Hiéronymites, église Santa Maria et tombeau de Vasco de Gama (1460-1524), Tour de Belém et ses environs, quartier de la Baixa, la place du Commerce, le Rossio, l'elevador de Santa Justa (construction en 1901 par Raoul Mesnier de Ponsard, élève de Gustave Eiffel) et sa vue panoramique stupéfiante...








































11 août 2016

Ville de Tomar
Église Saint-Jean-Baptiste, visite époustouflante du gigantesque Couvent de l'ordre du Christ, shopping dans les rues piétonnes aux maisons décorées d'Azulejos...




































12 août 2016

Ville de Sintra
Palácio nacional de Sintra et Palácio da Pena, tout simplement féeriques ; quel faste, quelle élégance, quelle exubérance, quelle extravagance ! Puis Cabo da Roca et son air frais marin bien à l'ouest...


























































13 août 2016

Piscine, lecture et farniente à Barrosa, déambulation dans les rues de Benavente, nid de cigogne (sans cigogne) sur le clocher de l'église...

















14 août 2016
Les citrons verts du jardin de Barrosa, visite au nord de Lisbonne (Entrecampos) du musée Calouste Gulbenkian, collectionneur arménien magnat du pétrole (Istanbul 1869-Lisbonne 1955), rues basses et plus hautes de l'Alfama...































15 août 2016
Ville de Bathala                                                               Couvent de Santa Maria da Vitória (commencé en 1386 par João 1er, roi du Portugal, suite à la victoire d'Aljubarrota sur les Castillans), église, chapelle du Fondateur, salle du Chapitre (tombe des deux soldats inconnus portugais de la Première Guerre mondiale), réfectoire, cloîtres, chapelles imparfaites...
















16 août 2016
Lever du soleil de la fenêtre de ma chambre à Barrosa, aéroport de Lisbonne pour le retour en France, où les températures égalent celles du Portugal, aussi je me sens peu dépaysée...